Une visite inatendue

-Arrête Richard, je te promets que je serai toujours là pour toi, quoi qu'il arrive.



Les joues de Vanessa s'empourpèrent a la question de Richard et sa réponse se fit d'un ton incertain.



-Hé bien... Pour moi oui mais si ce n'est pas le cas pour toi...

La promesse lui réchauffa le coeur, et pour de bon cette fois. Il remarqua ses joues changer de couleur, et répondit presque aussitôt qu'elle eut terminé ses mots.

- mais bien sûr que c'est la même chose pour moi!! C'est juste que... Je suis un gars, alors les gars parlent pas beaucoup de ça, tu sais? Ton William ne doit pas s'ouvir facilement non plus!
Mais si ça peut te rassurer, dans mon esprit, il y'a une pièce. Et dans cette pièce il y'a un armoire dans lequel une section complète t'es destiné! Tu demanderas à Rupert, il l'a vu aussi.

Vanessa fut interloquée par les mots de Richard.



-Tu sais à quoi ressemble ton esprit? On ferait mieux de continuer si on ne veux pas être vus...



Vanessa reprit la marche, toujours main dan sla main avec Richard.

Richard continua à marcher avec vanessa, main dans la main, mais si ils verraient quelqu'un, il la lacherait pour ne pas que des rumeurs se lance...

- Oui, je n'allais quand même pas laisser l'Étoile Noire faire son territoire! Mon esprit est présentement scindé en 2, si rien n'a changé : la première partie est celle que je contrôle. C'est une chambre avec un armoire à plusieurs tirroirs, un lit et un garde-robe verrouiller où se situe mes craintes. La 2ieme salle à été vraiment ardu à atteindre : elle représente le côté de mon esprit que l'étoile noire contrôle. C'est une salle à manger. Une longue table avec une vingtaine de place assise, un lustre gigantesque au plafond, et le logo du collier au centre de la table. J'ai ma place à un bord de la table, et il a la sienne à l'autre. Cela fait un moment déjà que je n'ai plus accès à la chambre...

La nervosité et la joie qui les avaient apportés jusque là c'était évanouie et ils retombaient maintenant dans le coeur de leurs problèmes. Vanessa serra légèrement la main de Richard en signe d'encouragement.



-Tu réussiras... On réusira

Richard se secoua un peu lorsqu'elle serra sa main, comme pour passer à autre chose.

- oui, je sais. J'ai toujours voulu faire un combat sur une table! Tu te rappel lorsqu'on se "battait" pour qui aurait ma double-lame? Sa remonte à loin, c'était bien.

Ils arrivèrent à la 2ieme plaine. 1 ou 2 personnes étaient visibles près des torches, et c'était tout à fait normal qu'il en est en tout temps qui patrouillaient.

- bon, on va chez moi? Il faudra se lacher les mains, sinon ils se poseront des questions!

-Oui je m'en souviens. Ça fait tellement longtemps.



À la vue des gens sur la plaine, Vanessa remonta sa capuche noire pour couvrir sa tête et la referma pour ne plus que sa chemise blanche paraisse.



-Je comprends, on peut aller chez toi. Si jamais on renconte quelqu'un qui pourrais facilement me reconaitre, je me téléporterai.

Sans embûche, le jeune couple revint avec leur butin dans un sac, pour ne pas éveiller les soupsçons. Richard avait prit le temps d'écrire un mot aux filles qui dormaient encore. Un simple mot pour pas qu'elles s'inquiètent, et qu'il reviendrait dans quelques jours.



Ils retournèrent dans le bois, jusqu'à l'abris.



- Bon, tu es doué en décoration j'espère!

Richard sortit tout d'abord de son sa un foulard noir, puis le plaça autour de son cou.

- bon, je pars le bal avec un nouveau look, moi aussi! On pourra réessayer notre tentative de tout à l'heure, sans choc électric!

Il sortit aussi plusieurs couvertures du sac, qui ne contenait plus grand chose par après.

- bon, on met celle là au sol, celle-ci dans l'entrée pour pas qu'on nous voit et pa plus douce pour nous...? Ça te va?

Richard ne voulait pas rester au dehors de l'abris, pour être sûr de ne pas être repéré de loin. Alors dès qu'ils finirent d'installer le tout, ils s'y installèrent.

- d'accord, je vais m'arranger pour te garder réveiller, j'espère que ce ne sera pas trop dure.

Richard se pencha vers elle pour l'embrasser quelques secondes, puis il se rassit, attendant sa réponse.

Heureux d'avoir attisé ses craintes et de profiter des derniers moments de la potions, le Desparo redoubla d'attention à l'égard de la demi-déesse. Ils s'embrassèrent beaucoup, d'un côté à l'autre de l'abri, et lorsque Richard commença à oublier les problèmes et à penser à peut-être aller plus loin: les effets de la potion cessèrent. Pire : les cernes revenèrent, ses forces disparurent et ses pensées retombèrent dans un gouffre sans fin de fatigue. La fatigue atteignait des recorps, lui donnant un énorme mal de tête par sa soudaine réapparission, et ce ne fut pas long avant de ne plus avoir conscience avec l'extérieur de lui-même. Le corps du Desparo était complètement relâché sur Vanessa, assomé par les effets secondaires. Richard dût utiliser toute ses forces pour articuler, les yeux fermés :

- Je t'aime, n'ou... N'ou... N'oubli pas...

L'inconscience l'atteint.

Aux premières images du bâteaux, le Desparo se redressa subittement, tentant de saisir une arme quelquonque près de lui. Faute d'avoir eu les siennes, Richard se redressa, les jambes un peu courbé, près à bondir. Le morceau de papier... Richard ouvra grand les yeux, puis fouilla ses poches. Il répliqua d'une voix forte :

- C'était une lettre espèce de... Madame...

Tout semblait si vrai... Et si c'était vrai? Si l'étoile noire avait reussi à trouver les souvenirs de sont coeur? Il devait trouver...

- Cathrine, où sont Victor, Gilhert, Bouteille et Vlad!!! JE VEUX LES VOIR!

Les baisers revenaient à son esprit, et ses yeux commencèrent à devenir embués. Le Desparo leva ses mots vers les marins, comme s'il avait des pouvoirs magiques prêts à être utilisé

Richard avait tout écouter, mais n'en demeurait pas moi parfaitemenr immobile. Il se reconcentra sur Vanessa, puis, ses derniers mots avant qu'il ne s'endorme lui revint à l'esprit : je t'aime, Richard. Je suis avec toi.

Les larmes coulèrent peu à peu sur ses joues. Le Desparo en avait plus qu'assez de l'Étoile Noire, qu'il est inventé la scène de castel rosa ou celle-ci. D'un pas déterminé, le caporal sans âme piqua tout droit vers Victor, l'homme qu'il connaissait le moins, et donc l'étoile Noire aussi. Au passage, un marins qui l'observait encore mangea sur les nez le plus puissant coup de poings que Richard pouvait donner : il voulait savoir si les effets de la potions de Castel Rosa fesait encore effet

Son poing avait mal, mais le marin ne devait plus sentir grand chose, lui.